Étude théologique d'une vie, chapitre II (suite).

Administrateur

Une quête vers la vérité.

Plusieurs mois ont passés depuis que vous ayez lu le fragment de lettre. Cependant, le froid hivernal et les longues marches sur les sentiers enneigés n’ont pas arrêté votre course effrénée vers votre accomplissement personnel. Pourtant, une lettre maladroitement posée sur votre bureau trône aux côtés de poussière et de toiles d’araknes. Tandis que les autres documents sont noyés sous la crasse, cette lettre semble intact, comme si protégée de l’impureté.

Cette netteté malsaine vous interpelle, et alors que vous approchez la main pour vous en emparer, les vermines et autres cloportes vous fuient pour se réfugier vers des lieux plus calmes. Vous attrapez la lettre, relisez vaguement les quelques lignes et étudiez la carte. Elle semble aussi vieille que le Chêne Mou lui-même. Le papier sur lequel elle est dessinée craque sous vos doigts et vous vous demandez s’il ne provient pas directement de l’écorce de cette entité légendaire.

Après avoir laissé vagabonder votre esprit, l’orage vous rappelle sur terre. La légende de la carte vous saute aux yeux, et vous vous maudissez de ne pas y avoir pensé plus tôt : « la suite est cachée sous la surveillance d’un ami autochtone ». Une telle affirmation ne peut que signifier, avec la carte de l’Ile des Wabbits, que la succession du texte doit se trouver là bas. La question que vous vous posez alors est « qui la détient ? ». Vous réfléchirez en route. Vous attrapez votre cape, mettez la capuche pour vous protéger des rafales torrentielles et, éperonnant infatigablement votre Dragodinde, vous vous ruez vers le Zaap le plus proche. Si vous aviez des doutes, ils ont étés lavées par la pluie : votre destination est bien l’Ile des Wabbit.

Le décalage horaire aidant, vous arrivez sur place le matin, et la position du Soleil dans le ciel vous raffermis dans cette idée : il doit être dix heure. Vous faites quelques pas en direction d’un banc, face à la mer, où un vieux Lenald semble être assis depuis des décennies. D’un air pas très engageant il vous regarde vous approcher de ce même regard que celui des enfants voyant les monstres en cage de la Foire du Trool. Vous vous souvenez alors à quel point vous paraissez ridicule avec votre cape noire et votre capuche dégoulinantes. Vous les ôtez, sourire gêné aux lèvres, et les fourrez dans votre sac.

Alors que vous le refermez solidement, vous remarquez que l’objet de votre venue sur l’Ile des Wabbits gît sur le sol. Le vieux Lenald regarde alors la lettre, cherchant dans ses souvenirs. Il est sur de l’avoir déjà vu, mais il ne se souvient pas quand, ni ce qu’elle contient. Soudain, une lueur passa dans ses yeux et un rictus se dessina sur son visage : vous ne savez pas s’il est heureux ou effrayé.

Tremblant, il se leva du banc comme si c’était la première fois de sa vie, comme l’atteste les différences de couleurs : alors que tout le banc est noirci pas le vent, le sel de la mer et grouillant de lichen aux teintes variés, là où le vieux Lenald était, le banc avait gardé sa couleur naturelle de bois d’orme. Il s’approcha de vous, vous dominant malgré sa petite taille, et vous montra de la main le banc. Vous vous en approchez alors et remarquez dans l’accoudoir une sorte de poignée, comme si un tiroir y avait été incrusté. Vous tirez dessus, des morceaux de bois et de mousse furent arrachés de l’accoudoir et, le tiroir enfin ouvert, vous vous emparez de la boite qu’il abritait. Le Lenald ne faisait rien à part vous regarder attentivement de ses yeux ronds et cernés de rides de vieillesse, entre autres.

Vous vous asseyez sur le banc et examinez la boite. Elle n’est pas poussiéreuse ni sale et encore moins abimée, elle semble neuve, comme si on venait de la cacher dans le banc, mais seule la serrure, ne résistant pas à l’usure du temps, atteste par sa rouille qu’elle est sans doute plus vieille que vous. Les dorures dans tout les coins de la boite, bien que légèrement ternies, et les gravures qu’elle orne, font de ce réceptacle une pièce faite par des mains de maitre. Les gonds ne vous résistèrent pas lorsque vous ouvrez la boite.

Mais encore?

Administrateur

Suspens

Je suis en train d'écrire la suite, ça ne finira pas comme ça What a Face

.

Mdr je me disais aussi.
Au faite,a quoi sert les RP a pars rien?
C'est juste pour savoir =p.
J'ai jamais compris pourquoi des gens se casse
la tête a écrire un texte inutile.

Des gens qu'ils veulent vivre l'experience du jeu différement en entrant dans son perso, lui créant un passé, une vie, un chemin a suivre. Quand tu as une guilde que RP sa peut être très sympa, après faut être dans le trip, chacun ses goûts meme si tu peux pas trop juger si tu as pas vraiment essayé Wink

(Je sors sa au mec qui me disent "Dofus tous pourris")

Mdr,ok.

P.S : Demain 323 ème épisode de Bleach =p.

Erf dsl la fleme de lire tout sa

Sacrie-vo =) a écrit:: Mdr,ok.

P.S : Demain 323 ème épisode de Bleach =p.

Tu me prends par les sentiments la ?! Attention n'est pas fan de Bleach qui veut ^^ Ne me deçoit pas

Bras droit

Moi j'aime bien et j'encourage Popof a continuer

Bon darthouille, je go regarder ce fameux épisode.

Popof, continue comme sa.

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